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En Hollande, le lobby gay commence à sensibiliser dès la maternelle

Le Magyar Nemzet est le principal quotidien imprimé de Hongrie. Fondé en 1938, le Magyar Nemzet (Nation hongroise) est un journal de référence pour les conservateurs et est sur une ligne proche du gouvernement de Viktor Orbán.

Temps de lecture : 2 minutes

Article paru dans le Magyar Nemzet le 16 janvier 2022.

Dans certains pays, le lobby LGBTQ – qui réclame la sensibilisation sexuelle des enfants – a atteint un tel degré d’influence que ce genre de formations est déjà proposé même aux élèves des écoles maternelles. En Hollande, par exemple, on a rendu obligatoires dès l’âge de quatre ans ces activités d’éveil dans le cadre desquelles les petits apprennent, entre autres, que l’amour entre deux hommes est parfaitement naturel.

L’un des axes centraux de l’agenda du lobby LGBTQ est la sensibilisation des enfants en faveur de l’homosexualité : les diverses organisations gay ont consacré, et continuent à consacrer des sommes importantes et une énergie considérable à l’objectif d’amener diverses sociétés à juger naturel qu’on soumette des mineurs à ce genre de trainings dans le cadre des établissements publics d’enseignement. Cela fait déjà de longues années que diverses ONG (dont celles du réseau Soros), ainsi que les centres de pouvoir libéraux d’Europe et d’Amérique (dont la Commission européenne) déversent sur ces organisations des millions de dollars.

Une sensibilisation obligatoire

Résultat de cette campagne obstinée : dans certains pays à gouvernement libéral, elle a obtenu que ces formations à contenu sexuel soit introduites dès la maternelle. En Hollande, par exemple, dès l’âge de quatre ans, les enfants sont tenus de participer à ce genre d’activités, dont les contenus incluent l’identité de genre et l’homosexualité. D’après un rapport de Dutchreview.com, les enfants y apprennent même qu’il est « parfaitement naturel que deux hommes ou deux femmes s’aiment ». Comme le rapporte ce site, l’éveil des petits y est réalisé,

non seulement dans les grandes lignes, mais jusque dans les moindres détails.

La vidéo dont le lien est inclus dans cet article montre d’ailleurs un extrait d’un tel training de sensibilisation, au cours duquel le responsable de cette activité pose des questions aux enfants de la maternelle, leur demandant ce que ces gens qui s’aiment peuvent se faire l’un à l’autre. Les petits hurlent toutes sortes de réponses, chacune recevant l’approbation de l’enseignant. Pendant les quelques secondes de la prise de vue, on entend se succéder rapidement des propositions allant de « prendre dans ses bras » à « se marier », en passant par « se faire des bisous ».

A l’école, il n’y a plus de tabous : la masturbation et le sexe oral peuvent, eux aussi, être évoqués dans le cadre de ces trainings de sensibilisation.

Fièvre de Printemps pour les petits

L’auteur de l’article a aussi mentionné le cas de sa fille de sept ans, dont la classe a participé à une activité de sensibilisation nommée Fièvre de Printemps (Lentekriebels).

D’après l’article, les Hollandais partent du principe que, dans la mesure où la sexualité est partie intégrante de la vie quotidienne, il est souhaitable que les jeunes se voient confier dès l’enfance un maximum de « provisions pour la route » dans ce domaine.

Ainsi, ces activités proposées aux mineurs mettent aussi l’accent sur l’importance du sexe dans le cadre du couple. A cette occasion, on peut remarquer que cette sensibilisation se base sur des concepts aussi malléables que de la pâte à modeler : on apprend ainsi aux enfants à dire non au sexe tant qu’ils « ne se sentent pas prêts », mais sans préciser en fonction de quels facteurs – par exemple, de l’âge – ils devraient ou non se « sentir prêts ».

Remarquons aussi que, toujours d’après cet article, les parents des deux tiers des adolescents hollandais entre 15 et 17 ans ne trouvent pas problématique que leurs enfants aient des relations sexuelles.

La Hongrie peut encore résister

Rappel : à l’occasion du référendum sur la protection de l’enfance, prévu pour le 3 avril, les citoyens hongrois nantis du droit de vote auront la possibilité de donner leur approbation aux lois de protection de l’enfance adoptées l’été dernier, et pourront, entre autres, exprimer leur opinion sur la possibilité de proposer aux mineurs, dans le cadre des établissements publics d’enseignement et sans l’autorisation des parents, des activités incluant la présentation de diverses orientations sexuelles. Par ailleurs, l’une des quatre questions du référendum concerne la possibilité de promouvoir auprès des mineurs des traitements de réassignation sexuelle.

Traduit du hongrois par le Visegrád Post