Skip to content Skip to sidebar Skip to footer

Dans les coulisses de la saillie magyarophobe de Mark Rutte : le fils de George Soros

Le Magyar Nemzet est le principal quotidien imprimé de Hongrie. Fondé en 1938, le Magyar Nemzet (Nation hongroise) est un journal de référence pour les conservateurs et est sur une ligne proche du gouvernement de Viktor Orbán.

Temps de lecture : 3 minutes

Article paru dans le Magyar Nemzet le 30 juin 2021.

L’attaque en cours contre la Hongrie est une opération concertée depuis des semaines, en raison des lois hongroises destinées à protéger les enfants des pédophiles. Le Premier ministre hollandais s’est rendu coupable d’une déclaration d’une effronterie sans précédent, en affirmant qu’il faut mettre la Hongrie à genoux. Dans les coulisses, comme nous l’apprend le site Origó, on retrouve probablement la galaxie Soros et les organismes de la société dite civile qui lui sont inféodés.

C’est le 15 juin que le Parlement hongrois a adopté un paquet de lois destinées à combattre la pédophilie. En vertu de ces nouvelles lois, un registre nominal des pédophiles est créé, ces derniers se voient interdire certaines professions, et les délits pédophiles deviennent passibles de peines plus graves : leurs auteurs ne peuvent plus s’en tirer avec des peines légères, ni – dans certains cas – bénéficier de la liberté conditionnelle, les crimes pédophiles les plus graves ne jouissent plus de la prescription, et – pour ceux auxquels elle reste applicable – le terme de la prescription est prolongé.

Ces lois ont aussitôt fait l’objet d’un tir groupé du lobby européen du genre au grand complet : aux cours de ces dernières semaines, nombreux sont les canaux par lesquels ils ont fait pleuvoir les provocations à l’encontre de la Hongrie et des Hongrois.

Avant le match Hongrie-Allemagne célébré dans ce dernier pays, il a été question de projeter sur l’Allianz Arena les couleurs de l’arc-en-ciel, des drapeaux arc-en-ciel ont été distribués aux supporters, l’hymne hongrois a été accueilli par des huées, tandis qu’un activiste faisait irruption sur le terrain de jeu en brandissant un drapeau arc-en-ciel, que la police faisait tout son possible pour énerver et indisposer les supporters hongrois qui avaient fait le voyage, et que les consuls de Hongrie étaient tenus à distance du stade.

Les attaques avaient même commencé avant l’adoption des lois anti-pédophilie, dès qu’il s’était avéré que l’équipe hongroise – tout comme de nombreuses autres équipes d’Europe centrale et orientale – ne comptait pas mettre genou en terre avant le coup d’envoi des matchs de coupe d’Europe, refusant d’une part de politiser un événement sportif, et considérant d’autre part que la Hongrie, qui n’a jamais été un pays esclavagiste ni une puissance coloniale, n’est pas concernée par le mouvement exigeant ce geste.

Le Premier ministre hollandais Mark Rutte s’est rendu coupable d’une déclaration d’une effronterie sans précédent, en déclarant récemment qu’il faut mettre la Hongrie à genoux. Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán, réagissant à ces propos sur un réseau social, a répondu « qu’un Hongrois ne s’agenouille que devant Dieu, devant sa patrie et devant son amour ».

Or Rutte n’agit pas de sa propre initiative, et il n’agit pas seul. Ces dernières semaines, les organismes de la société dite civile que finance le spéculateur immigrationniste George Soros ont d’ores et déjà pris une part active à la campagne de dénigrement en cours contre la Hongrie, avec le concours empressé de la gauche hongroise. Ces organismes de la société dite civile sur fonds Soros ont entrepris de faire passer ces lois de protection de l’enfance pour des lois homophobes, en dépit du fait qu’elles ne visent pas le moins du monde les homosexuels, et ne concernent en rien les citoyens de plus de 18 ans, peut-on lire sur le site Origó.

Or remarquons que celui qui sonne actuellement le tocsin contre les lois anti-pédophilie est ce même Mark Rutte qui a par le passé exprimé le désir de légaliser la pédophilie et la zoophilie, trouvant acceptable d’avoir des relations sexuelles avec des enfants ou avec des animaux.

Ce qui semble, en revanche, lui poser un problème, c’est que le gouvernement hongrois souhaite confier aux parents le droit de décider de l’éducation sexuelle à donner à leurs enfants, et défendre les droits des mineurs.

Les liens de Mark Rutte avec la galaxie Soros sont étroits. Ces dernières années, on l’a vu à plusieurs reprises apparaître en public en compagnie du fils de George Soros.

Pour Alex Soros, la guerre menée à ces lois anti-pédophilie et de défense de l’enfance, ainsi que la propagande LGBT, sont des enjeux aussi personnels que l’est la cause immigrationniste pour George Soros.

Ce sont les organisations Soros qui coordonnent les attaques dirigées contre les lois hongroises anti-pédophilie

La campagne de dénigrement lancée contre la Hongrie a commencé avant la saillie du Premier ministre hollandais. Son chef d’orchestre est Gerald Knaus, l’un des hommes de confiance de Soros, et l’un de ses plus anciens lieutenants. La réactivation de Knaus a commencé par un Tweet dans lequel il s’emportait contre l’UEFA qui, à l’approche du match Allemagne-Hongrie, a osé refuser la projection pour raisons politiques les couleurs de l’arc-en-ciel sur le terrain du stade munichois.

De même, Amnesty International est l’un des organisateurs de la campagne magyarophobe. Le 18 juin, par exemple, cette organisation a fait placer à la frontière magyaro-slovaque des panneaux sur lesquels apparaissait, barrée, la mention « Zone exempte de LGBT » en trois langues (hongrois, anglais, russe) – le tout, alors même que la Slovaquie (à la différence de la Hongrie) ne reconnaît pas les unions civiles de personnes de même sexe.

Ces derniers temps, une autre organisation Soros est d’ailleurs passée au premier plan : la Civil Liberties Union for Europe, sur le site de laquelle, dans la rubrique « formation », Israel Butler et Valentin Toth ont publié un article consacré à l’instruction des activistes et des journalistes, leur expliquant par exemple quelles expressions employer pour désigner ces lois.

Depuis la publication de cet article, les journalistes de gauche n’ont plus le droit d’appeler ces lois par leur vrai nom de « lois anti-pédophilie ». Ce site est d’ailleurs rempli d’incitations à s’en prendre à la Hongrie pour ses lois anti-pédophilie – thème récurrent de ses publications.

La branche hongroise de l’organisation – officiellement nommée Társaság a Szabadságjogokért (« Société de protection des libertés civiles ») – assume aussi sans rechigner sa part du travail de propagande. N’oublions pas non plus de mentionner Human Rights Watch, à l’origine d’une véritable campagne internationale de fake news, secondée aussi par le Comité Helsinki Hongrois, qui depuis le tout début propage des informations fausses sur les lois hongroises anti-pédophilie.

Article complet ICI.

origo.hu

Traduit du hongrois par le Visegrád Post